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vendredi 15 août 2025

Diabète et régime cétogène

 parcours de guérison


Diabète de type 1: comment le régime cétogène a changé la vie de la médecin Taïra Teyso


Cétogène et Diabète


Diagnostiquée d'un diabète de type 1 à 32 ans, Taïra Teyso, médecin, a cherché une voie alternative à la prise en charge habituellement proposée aux patients. Après avoir réussi à stabiliser sa maladie grâce à une approche alimentaire radicale, en rupture avec les recommandations classiques, elle a publié en 2022 un livre issu de son expérience: Comment j'ai baillonné mon diabète grâce au régime cétogène.


Médecin, Taira Teyso voit sa vie basculer en novembre 2019 lors-qu'on lui diagnostique un diabète de type 1. À 32 ans, la jeune femme, mince et sportive, bénéficie pour-tant d'une santé de fer et affirme même ne jamais prendre, par principe, aucun médicament: Si je prescrivais traitements et examens à longueur de journée à mes patients, j'étais, pour ma part, comme une naturopathe de l'ombre, n'ayant même jamais pris un seul comprimé de paracétamol. Mais à l'automne 2019, un symptôme qu'elle juge d'abord anodin prend fina-lement une tournure inquiétante: «J'éprouvais une soif intense et impérieuse. Si, alors, elle en plaisante volontiers en se qualifiant de poto-mane une pathologie psychiatrique qui consiste à boire de l'eau compulsivement et en grandes quantités -, la réalité dépasse bientôt le simple trait d'humour: J'étais constamment assoiffée, au point de tout laisser en plan pour trouver de l'eau, de foncer dans un supermarché alors que j'étais déjà en retard ou de sauter de mon lit à peine assoupie pour engloutir une carafe entière. A cette soif insatiable s'ajoutent des signes plus inhabituels: elle fait les frais de perlèches - de petites coupures aux commissures des lèvres et développe une attirance compulsive pour les aliments crus et acides. Il me fallait des aliments frais, aqueux..., se souvient-elle, évoquant notamment ce jour où, obsédée par l'envie d'une pomme Granny,

elle a fait trois épiceries et quatre supermarchés. Si elle commence d'abord par faire l'autruche, la méde cin qu'elle est connaît trop bien ces signes d'alerte pour les ignorer: Les perlèches peuvent par exemple, dans certains cas, avoir pour cause sous-jacente des maladies générales telles que le cancer ou le diabète. Prise d'un mauvais pressentiment, elle se résout donc à faire une prise de sang, pour être tranquille».

De médecin à patiente: la plongée dans l'enfer du diabète

Les résultats tombent un lundi matin comme un couperet alors qu'elle entame sa journée de travail à l'hôpital où elle exerce avec une glycémie à jeun de 2,9 g/L, elle est au-dessus du seuil de 1,26 g/L à partir duquel le diabète est confirmé. Je l'ai vécu comme un véritable choc, car même si j'avais des symptômes évoquant le diabète de type 1 tels que la perte de poids ou la soif intense, à la trentaine, j'étais persuadée de ne plus avoir cette épée de Damoclès au-dessus de ma tête puisque, dans la plupart des cas, la maladie se déclare à l'adolescence. Prise de panique, Taïra se rend immédiatement au service diabétologie de son hôpital où une consœur la reçoit sur-le-champ et lui lance à la vue de ses résultats: Ah oui! Diabète. Type 1, je présume, vous n'êtes pas bien épaisse... Par contre... C'est tout de même assez élevé... Vous êtes très probablement en acidose. C'est une urgence, vous savez! Malgré l'alerte de sa collègue, Taïra demande à retourner terminer sa journée de travail. Je devrais survivre jusque-là, puisque je suis déjà malade depuis plusieurs semaines, je présume... La diabétologue accepte et, ce jour-là, Taira s'injecte, pour in première fois, de l'insuline avant de regagner son service avec une ordonnance, une trousse noire contenant stylos å insuline et aiguilles, et surtout une consigne aller immédiatement aux urgences après sa journée de travail.


L'entrée à l'hôpital : choc clinique et choc culturel


Arrivée aux urgences, Taira ne tarde pas à découvrir la routine hospitalière des diabétiques: perfusions glycémies capillaires, injections et suivi rapproché. Elle fait également l'expérience de sa nouvelle identite: Vis ma vie de médecin de l'autre côté de la barrière!, se souvient avec humour cette médecin devenue patiente malgré elle. Très vite, elle se familiarise avec les schémas thérapeutique classiques: une dose d'insuline lente, ou basale, agissant sur 24 à 48 heures pour réguler la glycémie à jeun, et une dose d'insuline rapide (d'une durée d'action bien plus faible) administrée à chaque pas et censée permettre l'assimilation de la quantité de glucides ingérés.


Marise, dépitée, avec les nombreuses contraintes de sa pathologie:


la nécessité d'apprendre à alterner sites d'injection d'insuline (ventre, cuisses, bras) pour éviter les hypertrophies nodules susceptibles se former sur les sites d'injection et perturbant l'absorption de l'insuline-;


la menace de complications multiples (néphropathie, rétinopathie, neuropathie) et, surtout, les injections répétées à la prudence alimentaire et à la surveillance stricte. Pour mieux se mettre dans le bain, Taïra est hospitalisée en diabétologie, où on Jui indique que, malgré sa pathologie, elle peut manger tout à fait norma-lement et même faire des écarts», dès lors qu'elle respecte la base des apports recommandés: 45-50% de glucides, 35-40% de lipides, 15% de protéines. Du moment que je privilégiais les graisses insaturées (huiles et appa-rentées), les céréales complètes, les sucres lents et que j'évitais les sodas et tous les sucres rapides, rien ne m'était interdit. Il me fallait juste adapter la dose d'insuline à mes apports en glucides,


L'insuffisance du protocole << officiel >>>


Mais rapidement, Taïra constate que les recommandations nutritionnelles fonctionnent difficilement sur elle. Chaque repas servi à l'hôpital provoque une flambée glycémique. Après avoir ingéré 50% de glucides, ma glycémie montait en flèche, de sorte que je devais faire des injections correctrices toutes les deux


heures, se souvient celle qui, inca-organisme (oscillant entre envolées pable d'anticiper les réactions de son glycémiques et chutes brutales), passe alors des nuits blanches à scruter ses courbes et à se piquer. Un cercle infernal qui la pousse à s'interroger: Visiblement, je n'étais plus capable de métaboliser les glucides et je me suis donc demandé quels effets aurait la suppression des glucides sur ma glycémie. Il ne lui en faut pas davantage pour se lancer, depuis son lit d'hopital, dans des recherches sur Internet. Elle y découvre le régime cétogène, ou keto», dans lequel les glucides sont quasiment absents. Interloquée, elle interroge immédiatement la diététicienne de l'hôpital: L'éviction des glucides pourrait-elle me permettre de réduire les injections d'insuline? La praticienne lui répond que cela est possible et qu'il lui faudra les adapter à l'évolution de sa glycémie. C'est alors que j'ai commencé à douter du dogme des 50% de glucides.


Une révolution douce: les débuts du régime cétogène


À sa sortie de l'hôpital, quelques jours plus tard, Taira entame cette expérimentation audacieuse. Le keto, stratégie alimentaire très pauvre en glucides, modérée en protéines et riche en lipides, vise à forcer l'organisme à changer de carburant métabolique: au lieu d'utiliser le glucose (issu des glucides) comme principale source d'énergie, le corps va produire des corps cétoniques à partir des graisses, provoquant un état physiologique appelé cétose nutritionnelle. Pour tester son efficacité, Taira procède à tâtons, avec prudence mais détermination. Elle passe d'abord par une phase d'observation, de lecture et de comparaison, et ne tarde pas à découvrir que, si le keto constitue une alter native thérapeutique étudiée par les scientifiques pour le diabète de type 2, les cas de diabète de type 1 traités avec ce régime sont, eux, rarissimes, peu documentés et même parfois tabous. L'argument principal qu'on lui oppose est le risque d'acidocétose. Or, médecin elle-même, elle comprend que ce risque est lié à une absence d'insuline en contexte d'hyperglycémie, et non à une cétose nutritionnelle contrôlée avec glycémie basse. Tout en conser vant son insuline lente quotidienne. elle commence donc par tester des menus très pauvres en glucides mais riches en bons gras (avocats, olives, huile d'olive, poissons gras, noix de pécan) et en protéines (volailles, œufs, poisson blanc). Rapidement, s'appuyant sur son capteur de glycémie pour observer en temps réel les effets de cette diète, elle se rend compte qu'elle peut diminuer, voire supprimer, l'insuline rapide primordiale lorsque les glucides sont exclus du repas. Dans son cas, les résultats sont d'ailleurs bluffants: Des courbes plates, des glycémies basses mais stables, et plus aucun pic glycémique postprandial. Progressivement, elle réduit également son insuline lente. D'abord timidement, puis franche-ment: ses glycémies à jeun passent largement sous la barre de 1g sachant que la limite basse officielle est 0,7 g. En suivant les règles officielles d'adap-tation de l'insuline lente, elle arrive àla conclusion logique qu'il lui faut encore diminuer... puis arrêter. À peine deux semaines après le diagnostic, elle abandonne totalement l'insuline. Un sacrilège pour beaucoup de soignants, mais une délivrance pour la jeune femme: Diabète de type 1, zéro insuline... C'était une zone de non-droit, une sorte de vide juridique!

Un quotidien réinventé

Taïra Teyso entre alors dans une nouvelle vie, rigoureusement structurée autour de son régime. Chaque repas est conçu pour éviter les apports glucidiques, mais sans frustration. Elle apprend à cuisiner autrement, expérimente les édulcorants compatibles (érythritol, stévia, sucralose).

ceux qui provoquent des pics glycémiques intempestifs. Elle teste des recettes cétogènes de pain, de pizza ou de pâtisseries, avec parfois des échecs, mais souvent des réussites. Sa devise une observation rigou-reuse du régime pour ne pas sacrifier l'équilibre métabolique tout en restant gourmande. En parallèle, elle observe les réactions de son entourage médi-cal. Certains médecins expriment leur réticence: Ce n'est pas bon pour les diabétiques... Les glucides sont indis-pensables... Mais Taira se montre tellement rigoureuse dans l'application du régime keto que d'autres, comme le professeur en diabétologie Agnès Hartemann qui, plus tard, préfacera son livre, encouragent son expérimentation. Ce nouveau mode de vie porte ses fruits. En quelques semaines, la jeune femme retrouve une énergie stable, un moral au beau fixe et un sommeil serein. Surtout. elle découvre qu'elle peut vivre avec un diabète de type 1 sans avoir à se piquer plusieurs fois par jour, sans hypoglycémies nocturnes ni hyperglycémies post-repas. Sa courbe de glycémie mie reste quasi linéaire: des courbes plates, basses, sans insuline qu'elle brandit avec fierté à l'hôpital ou tout avait commencé. Le régime cétogène devient pour elle une évidence: Je ne mange plus de glucides, donc ma glycémie reste stable.

Une philosophie de soin

Elle parvient à maintenir cette stabilité sans insuline pendant plusieurs années. Mais, alors qu'elle entame une nouvelle vie de couple, elle recommence progressivement à s'autoriser quelques écarts. Pour compenser, elle renoue avec son injection quotidienne d'insuline lente et, selon la quantité de glucides qu'elle consomme, elle s'injecte ou non de l'insuline rapide: Il y a certains jours où je ne prends que de l'insuline lente, et d'autres où je m'autorise un écart et m'injecte donc juste avant de l'insuline rapide,


Je prends également certains anti-diabétiques oraux normalement réservés au diabète de type 2, mais qui sont parfois prescrits aux diabétiques de type 1 pour les aider à réguler leur glycémie. Ce protocole me convient parfaitement. Aujourd'hui convaincue que le but du régime n'est pas de se croire guéri, mais d'équilibrer au mieux ses glycémies pour éviter les complications et simplifier son quotidien. Taïra propose une approche scientifique et personnalisée. Pour elle, le but n'est pas forcément de réduire au maximum son insuline. L'insuline en soi n'est pas mauvaise, et l'important reste d'avoir une bonne hémoglobine glyquée et une glycémie bien équilibrée pour ne pas avoir de complications sur le long terme. Pour ce faire, chacun trouve sa méthode. La mienne est un régime cétogène bien contrôlé avec un peu d'insuline pour me permettre de m'autoriser des écarts quand j'en éprouve le besoin ou l'envie. Si elle reconnaît qu'il s'agit là d'une diète exigeante, parfois mal acceptée socialement, et difficile à mettre en œuvre pour certaines personnes, en particulier pour les enfants et les adultes déjà insulino-dépendants depuis longtemps, cette approche a, en tout cas, changé sa vie. Et si de nombreuses questions restent en suspens (combien de temps peut-on rester sans insuline? Y a-t-il des effets délétères à long terme ?). le parcours de Taïra Teyso pose la question du potentiel du régime cétogène dans le traitement du diabète de type 1. Non pas pour abolir l'insuline, mais pour offrir une alternative, un complément, une voie de stabilisation qui mérite aujourd'hui d'être évaluée avec rigueur par les scientifiques.


Le diabète, une maladie en pleine expansion


Le diabète est une maladie chronique marquée par une hyperglycémie, c'est-à-dire un excès de sucre dans le sang. Il en existe de plusieurs formes, dont les deux principales sont le diabète de type 1 et le diabète de type 2. Le diabète de type 1, qui concerne environ 10% des personnes diabétiques, est une maladie auto-immune le système immunitaire attaque les cellules bêta du pancréas, responsables de la production d'insuline. Cette forme apparaît le plus souvent chez l'enfant ou l'adolescent, mais peut survenir à tout age, comme en témoigne le cas de Taira Teyso. Son traitement repose obligatoirement sur des injections d'insuline, plusieurs fois par jour, à vie.


Le diabète de type 2, bien plus fréquent (environ 90% des cas), résulte, quant à lui, d'une double anomalie: une résistance des cellules à l'insuline et une baisse progressive de la sécrétion pancréatique. Cette forme est fortement liée à l'alimentation, à la sédentarité et au surpoids. Elle se développe plus lentement, souvent après 45 ans, mais touche de plus en plus de jeunes adultes, voire d'adolescents. En France, plus de 3,5 millions de personnes sont traitées pour un diabète, et ce chiffre ne cesse de croître Au niveau mondial, on estime à plus de 537 millions le nombre de personnes atteintes, un chiffre qui pourrait grim-per à 643 millions d'ici 2030 selon la Fédération internationale du diabète.


Pour protéger son intimité, le médecin qui fait l'objet de ce parcours a pris le pseudonyme de Taira Teyso quee lequel elle a également signé son lure paru aux éditions Leduc


Clélia Fortier, Journaliste


Pour en savoir plus


Taira Teyso, Comment j'ai baillonné mon diabète grâce au régime cétogène, Editions Leduc, 2022.



mercredi 23 juillet 2025

Traitement parodontal

 Traitement parodontal

Traitement parodontal

1) Emploi d’un hydropulseur (indispensable)

2) Bain de bouche à l’huile (« oil pulling »).

prendre 1 cuillerée à soupe d’huile de sésame ou de tournesol dans la bouche en la faisant circuler de temps en temps comme pour un bain de bouche. Garder 15 à 20 minutes en bouche puis recracher et se rincer la bouche à l’eau. A faire à distance d’un repas et après un lavage des dents, 1 à 2 fois/j

3) Mélange huiles essentielles/ propolis/ huile végétale.

l 20 gttes HE Menthe poivrée

l 20 gttes HE Menthe verte (mentha spicata)

l 10 gttes HE Girofle

l 10 gttes HE Laurier noble

l 10 gttes de teinture de propolis

l 70 gttes d’huile de sésame, tournesol, colza de bonne qualité

A utiliser avec dentifrice + bicarbonate de soude

4) Compléments vitaminiques

Vit C (= 1gr/j), Vit D3 (800 à 1000 UI/j soit 20 à 25 mg), Vit B5 et B12

Vidéo SPOOKY2 pour les racines et les gencives



mardi 21 février 2023

SCALAR SPOOKY 2 & DISQUES TESLA et LAKHOVSKY

DISQUES TESLA et LAKHOVSKY 

Matériel de propagation d'ondes scalaires passifs ( sans électricité )


disques Lakhovski

Disque LAKHOVSKY TESLA
Ce disque potentialise les ondes scalaires et les concentre dans un vortex énergétique.
Je l'utilise sur moi à l'endroit où je désire une aide conséquente énergétique, comme aux lombaires lors d'une lombalgie.

disque LAKHOVSKI sur SCALAR
Disque collé sur SCALAR avec de la pâte à fixe.
Cela catalyse la puissance énergétique de SCALAR et la rend à mon sens et dans mon ressenti plus efficiente.



SCALAR SPOOKY

Spooky2-Scalar
Spooky2 Scalar est un dispositif scalaire qui peut fournir trois méthodes
différentes de soin avec des ondes scalaires : scalaire pur, scalaire
moléculaire et scalaire de Rife. Vous pouvez choisir parmi ces modes
celui qui convient le mieux à vos besoins

Spooky2 Scalar nécessite un dispositif transmetteur et un dispositif
récepteur. Les deux valises sont reliées l'un à l'autre avec un câble. Un
champ scalaire n'est produit que lorsque les deux dispositifs sont
syntonisés. Ils deviennent couplés, étant alors une entité unique ; l'un
transmet des signaux électriques standard, et l'autre renvoie les signaux
sous la forme d'un flux scalaire. Les couvercles deviennent des
antennes émettrices d'énergie scalaire, et un champ scalaire se créé
entre eux. Le chemin de retour est l'espace entre les couvercles. La
personne traitée se place entre le transmetteur et le récepteur, et elle
devient à son tour un récepteur accordé.

Scalaire pur
C'est la façon la plus simple d'appliquer l'énergie scalaire car il n'y a
rien d'autre à faire que de mettre en fonctionnement le dispositif.
Syntonisez le Spooky2 Scalar, puis asseyez-vous ou couchez-vous entre
le transmetteur et le récepteur. L'énergie scalaire pure s'écoule ensuite
entre le transmetteur et le récepteur, au travers de vous.
Scalaire moléculaire
Le signal scalaire peut être amélioré en plaçant une substance sur la
bobine réceptrice. Les molécules dans l'échantillon vont informer le
signal entre les valises et vous obtenez l'effet curatif du produit
chimique. La substance peut être des huiles essentielles ou des
médicaments. Par exemple, vous pouvez placer de l'huile essentielle de
menthe poivrée sur la bobine réceptrice et vous obtiendrez ses bienfaits.
Des études scientifiques ont prouvé que l'information seule peut causer
la destruction des pathogènes. Les cellules cancéreuses empoisonnées
sur la bobine réceptrice induiront la mort des cellules cancéreuses de
votre corps. L'information des cellules mourantes est transmise à vos
cellules cancéreuses internes, et elles meurent également.
Scalaire Rife
La troisième façon d'utiliser les ondes scalaires est la modulation avec
des fréquences de Rife. Cela combine les découvertes de Royal Rife et
de Nikola Tesla. Royal Rife a constaté que les pathogènes vibrent à une
fréquence particulière. Spooky2 Scalar peut appliquer cette fréquence
en utilisant des ondes scalaires comme porteuses. Seul Spooky2 Scalar
peut moduler les fréquences originales de Royal Rife. Cela transforme
Spooky2 Scalar en la machine de Rife la plus avancée au monde.
Après avoir connecté un générateur Spooky au connecteur "BNC" de la
valise du transmetteur, syntoniser le Spooky Scalar. Asseyez-vous entre
le transmetteur et le récepteur pendant le déroulement du soin. Le
Spooky2 Scalar accepte n'importe quelle fréquence de la base de
données très riche de Spooky.




spooky2 scalar


Branchement Spooky Scalar

Le branchement s'effectue en 5 étapes :
- Placez le transmetteur et le récepteur de part et d'autre d'une chaise ou d'un lit. Le
transmetteur et le récepteur doivent être le plus alignés possible, leurs couvercles "dos à dos".
- Connectez le transformateur 12 Volts sur la fiche d'alimentation du Transmetteur.
- Reliez les 2 valises par le câble de de liaison, qui se connecte sur les fiches "link" sur le
Transmetteur et le Récepteur.
- Reliez la sortie OUT1 du générateur (XM ou GX) à la fiche BNC de la valise Transmetteur
par le câble BNC-BNC long de 2 à 3 mètres.
- Tournez l'interrupteur en position ON puis ajustez la fréquence du générateur intégré au
transmetteur pour établir la syntonisation.
Tout comme une radio, Spooky2-Scalar nécessite une syntonisation. Cette syntonisation est nécessaire pour que le transmetteur et le récepteur soient
liés. C'est uniquement lorsque les 2 valises sont syntonisées que l'onde scalaire est présente. Pour réaliser cet ajustement, tournez le bouton de réglage
de fréquence dans le sens inverse des aiguilles d'une montre jusqu'à ce que la LED rouge de la valise Transmitter s’allume à son premier maximum
d’intensité.
Remarque importante : La fréquence d'ajustement pour syntoniser le dispositif se situent entre 5.5 MHz et 7 MHz. Cette fréquence est à déterminer à
chaque fois que vous brancher le dispositif. Ce ne sera pas forcément la même valeur que celle d'un précédent réglage, même si les valises n'ont pas
changé de place.
Il est aussi possible de dynamiser de l'eau en posant dessus une bouteille en verre. La propriété de l'eau sera changée en 30 minutes environ.
L'assimilation de l'eau sera plus importante dans l'organisme ainsi que l'énergie dont elle se sera"chargée"..

spooky2 scalar


Scalar Digitizer

Spooky2 Scalar Digitizer Master/Slave (GX) - JW

Relisez le chapitre Baseline avec le scalaire (Spooky Scalar) pour la mise en place de ce biofeedback.
Effectuer un Baseline avant le biofeedback améliore la précision.
Le biofeedback avec le scalaire nécessite l'utilisation des deux générateurs G1 et G2. Le préréglage Master (Maitre) est à affecter au générateur G1 du
GX. Le préréglage Slave (Esclave) est à affecter au générateur G2 en précisant l'identifiant USB du générateur G1 dans l'onglet Settings, zone Output
Control, ligne Out1 =. Seules les sorties OUT1 des 2 générateurs G1 et G2 sont utilisées.
C'est mieux qu'aucun Spooky-Boost ne soit connecté au GX.
Il est important de noter les identifiants correspondants à G1 et G2 avant d'exécuter un biofeedback.
Pour mettre en place ce biofeedback, il faut effectuer les étapes suivantes :
1. Connectez le Spooky2 Scalar Digitizer au connecteur du câble de liaison de l'émetteur scalaire.
2. Connectez la sortie G1 OUT1 au port BNC du Spooky2 Scalar Digitizer.
3. Connectez la sortie G2 OUT1 au port BNC du transmetteur scalaire Spooky.
4. Allez dans l'onglet Presets et sélectionnez le préréglage Spooky2 Scalar Digitizer Slave (GX) – JW.
5. Allez dans l'onglet Settings et mettez Out1 =[x] dans la zone Output Control (x étant le numéro de l'identifiant de G1).
6. Allez dans l'onglet Control, cochez Overwrite Generator puis cliquez sur le bouton identifiant le générateur G2.
7. Allez dans l'onglet Presets et sélectionnez le préréglage Spooky2 Scalar Digitizer Master (GX) – JW.
8. Allez dans l'onglet Control, cochez Overwrite Generator puis cliquez sur le bouton identifiant le générateur G1.
9. Vérifiez la syntonisation du Spooky2-Scalar.
10. Toujours dans l'onglet Control, depuis le bouton identifiant le générateur G1, cochez ou non la case Baseline Before BFB et lancez le
biofeedback en cliquant sur le bouton Scan.
Le préréglage Master sur G1 démarre le biofeedback et enregistre des variations électriques (aucun signal n'est produit car l’amplitude est de 0volt)
Le préréglage Slave G2 démarre automatiquement (il est l'esclave de G1), et il transmet les fréquences qui sont modulées dans le flux scalaire.
Il est préférable de rester calme, sans appareil électronique (téléphones, tablettes, etc.) et de n'avoir qu'une seule personne dans le champ scalaire. Ce
champ s'étend vers l'extérieur, alors assurez-vous qu'il n'y a pas d'organisme vivant à proximité (animaux, plantes).

 Scalar Digitizer Hunt and Kill Master/Slave (GX) - JW

Ce biofeedback combine la façon de faire du chapitre précédent \Scalar Digitizer\Spooky2 Scalar Digitizer Master/Slave (GX) - JW avec le Hunt
and Kill décrit dans le chapitre GeneratorX\GX Hunt and Kill (C) - JW.
Relisez le chapitre précédent pour les conseils. Pour réaliser la mise en place de ce biofeedback, il faut faire l'étape 8bis en plus des 10 autres étapes.
1. Connectez le Spooky2 Scalar Digitizer au connecteur du câble de liaison de l'émetteur scalaire.
2. Connectez la sortie G1 OUT1 au port BNC du Spooky2 Scalar Digitizer.
3. Connectez la sortie G2 OUT1 au port BNC du transmetteur scalaire Spooky.
4. Allez dans l'onglet Presets et sélectionnez le préréglage Spooky2 Scalar Digitizer Hunt and Kill Slave (GX) - JW.
5. Allez dans l'onglet Settings et mettez Out1 =[x] dans la zone Output Control (x étant le numéro de l'identifiant de G1).
6. Allez dans l'onglet Control, cochez Overwrite Generator puis cliquez sur le bouton identifiant le générateur G2.
7. Allez dans l'onglet Presets et sélectionnez le préréglage Spooky2 Scalar Digitizer Hunt and Kill Master (GX) - JW.
8. Allez dans l'onglet Control, cochez Overwrite Generator puis cliquez sur le bouton identifiant le générateur G1.
9. Vérifiez la syntonisation du Spooky2-Scalar.
10. Toujours dans l'onglet Control, depuis le bouton identifiant le générateur G1, cochez ou non la case Baseline Before BFB et lancez le
biofeedback en cliquant sur le bouton Scan.
Le préréglage Master sur G1 démarre le biofeedback et enregistre des variations électriques (aucun signal n'est produit car l’amplitude est de 0volt)
Le préréglage Slave G2 démarre automatiquement (il est l'esclave de G1), et il transmet les fréquences qui sont modulées dans le flux scalaire.
Il est préférable de rester calme, sans appareil électronique (téléphones, tablettes, etc.) et de n'avoir qu'une seule personne dans le champ scalaire. Ce
champ s'étend vers l'extérieur, alors assurez-vous qu'il n'y a pas d'organisme vivant à proximité (animaux, plantes).
 

Démo énergie scalaire avec tube fluorescent

(c) spooky2 John White


Astuces Michel Dogma

Ceux qui connaissent les expériences extraordinaires sur le pouvoir des mots écrits du japonais Masaru Emoto (voir son ouvrage) ne seront pas étonnés par mon option de remplacer les remèdes par une étiquette à leur nom. Mais il y a un détail à respecter : celle-ci doit être découpée dans du papier calque classique et écrite avec application au crayon de mine gras type 7B par exemple. Il obtient les mêmes résultats et aussi rapidement qu’avec les produits réels.

mardi 17 janvier 2023

ARTEMISIA ANNUA

 ARTEMISIA ANNUA


ARTEMISIA ANNUA

L'Artemisia prête à l'infusion
environ 4g/l
5 minutes dans l'eau frémissante.
Laisser infusé 15 minutes hors feu. 



Belle plante facile à faire pousser aux pouvoirs incroyables!
Pour ceux qui ont la chance de pouvoir s’en procurer, une simple infusion, 3 fois par jour, là aussi en alternance une semaine sur deux, ou en cure de trois semaines puis pause, apporte un effet global assez intéressant qui se traduit par une sorte de « bonne forme générale ».

Le 23 mai 1967, en pleine guerre du Vietnam, Ho Chi Minh, le chef des Viêt-Cong, mobilise 600 chercheurs pour trouver un traitement à la malaria, qui ravage la population.

Deux ans plus tard, l’un d’eux trouve… le Graal : l’Artemisia annua, une plante oubliée de la médecine orientale.

Elle tire son pouvoir de son principe actif, l’artémisinine.

Cela marche sur les troupes Viêt-Cong, dont le taux d’infection chute brutalement.

Aujourd’hui, 5 traitements de référence contre la malaria, l’amodiaquine, l’artéméther, luméfantrine, la méfloquine et la primaquine, ont pour base cette substance.

Sa re-découverte a même valu à la chercheuse chinoise Youyou Tu un prix Nobel de médecine !

Mais nos Autorités de Santé se contredisent : si l’OMS recommande l’artémisinine dans les médicaments, elle déconseille aux gens d’en faire des tisanes.

Les autorités de Madagascar en font les frais en avril 2020, lorsqu’ils promeuvent le CVO, une tisane antivirale à l’artémisinine, contre le Covid-19.

Le pays est la risée du monde entier. On montre à la télévision, pour en rire et soupirer, des militaires malgaches livrant des cartons entiers d’Artemisia Annua aux écoles.

Coïncidence ou pas, un an plus tard, ce pays compte seulement 861 morts pour 26 millions d’habitants, alors même que 40% de la population aurait été exposée au virus.

Validée par la science… Et combattue par les politiques

Les défenseurs de l’Artemisia Annua ont multiplié les études scientifiques :

  • En Allemagne, des chercheurs indiquent que 4 molécules de l’Artemisia empêcheraient le virus de pénétrer nos cellules ;
  • En Californie, on soutient que l’artémisinine évite la propagation du virus ;
  • Et en juillet dernier, une équipe affirme que l’Artemisia serait plus efficace que l’hydroxy-chloroquine pour traiter la COVID ;

Alors peut-être vous posez vous la question… « Est-ce que j'aurais du prendre de l’Artemisia Annua ? »

Le problème est que cette plante n’est pas disponible à la vente en France. Les autorités médicales nous mettent en garde : elle pourrait être « toxique » !

Cela trahit la méfiance de nos autorités vis-à-vis de toute solution naturelle… non vaccinale ! Pour elles c’est clair : seul le vaccin est valable !

Utilisation pour le cancer

un protocole qui semble cohérent avec 3 cycles d'environ 23 jours commençant par une courte prise d'extrait d'artemisia annua titré en artémisinine et 21 jours d'hydroxycitrate + R sodium lipoate, des conseils alimentaires qui n'empêchent pas de recourir à des soins classiques comme par exemple la radiothérapie

La Dictature qui voulait faire triompher la médecine traditionnelle

Nous sommes à Pékin en 1955.
 
Tu Youyou vient de terminer ses études de pharmacie. Passionnée de médecines traditionnelles, elle décide de compléter son cursus par une formation en Médecine Traditionnelle Chinoise.
 
Deux ans et quelques mois plus tard, doublement diplômée, elle devient professeur à l’Académie Chinoise de médecine traditionnelle.
 
A cette période, la Chine connaît une recrudescence des cas de paludisme. Le traitement « traditionnel » jusqu’ici utilisé, la chloroquine, a perdu de son efficacité.
 
Dans le même temps, les Vietnamiens du Nord, alors en pleine guerre contre les États-Unis subissent de plein fouet le fléau de la malaria (ou paludisme).

Leurs soldats meurent davantage sous les piqûres de moustiques que sous les balles américaines. Alliés aux Chinois, c’est vers eux qu’ils se tournent pour demander de l’aide.
 
En soutien à son voisin et allié, Mao décide donc, en 1967, de lancer un projet secret sous le nom « projet 523 » (nom de code lié à la date de lancement du projet, un 23 mai). Son objectif est simple : trouver un remède de la médecine traditionnelle chinoise contre le paludisme.
 
Idéalement, avant que les Américains n’en trouvent eux-mêmes un nouveau…

6 mois confinée pour trouver le remède

C’est Tu Youyou qui est choisie dès 1969 pour diriger ces recherches.

Pendant 6 mois, elle est presque confinée dans son laboratoire de la province de Hainan. Ses journées sont intégralement dédiées à sa recherche. Elle a laissé sa fille de 4 ans à Pékin et son mari est envoyé dans un camp de travail.
Tu Youyou, dans son laboratoire
 
Madame Tu se livre à un travail colossal : elle passe en revue plus de 2000 recettes de remèdes traditionnels et sélectionne 380 extraits de plante qu’elle teste sur des souris.

Parmi ces extraits, l’un d’entre eux semble montrer des résultats intéressants, c’est l’artémisinine, un des principes actifs de la plante Artemisia annua (armoise annuelle)
.
L'Artemisia annua peut atteindre 3 mètres de haut !
 
Mais Tu Youyou peine à établir une posologie efficace. Elle teste donc d’abord l’extrait sur elle-même. Et quand elle estime avoir obtenu des résultats stables, elle se décide à l’administrer à de vrais patients. 

Les résultats sont d’emblée là : en 30 heures, la fièvre des patients diminue et le nombre de parasites dans le nombre sang recule.

Tombée dans l’oubli pendant 50 ans

Depuis, l’artémisinine est passée dans la pharmacopée classique1 (médicaments ACT)… mais le nom de sa découvreuse, lui, est resté dans l’oubli.
 
Si bien qu’en 2005, lors d’un congrès sur la malaria en Chine, lorsque Louis Miller, chercheur américain sur le paludisme, demande à ses collègues chinois qui est à l’origine de cette découverte… personne n’est capable de répondre !
 
Il faudra plusieurs mois de recherches parmi des documents longtemps classés secret pour retrouver la trace de Tu Youyou… toujours affairée à ses recherches sur la fameuse plante dans son laboratoire de Pékin.
 
Dix ans plus tard, en 2015, elle obtient enfin le Prix Nobel pour sa découverte.
 
Mais l’histoire ne s’arrête pas là.
 
Alors que Tu Youyou s’apprêtait à recevoir le prix Nobel pour ses recherches sur l’artémisinine, on découvrait trois choses encore plus surprenantes :
  • La plante entière Artemisia annua (on dit aussi le « totum » de la plante) serait 3,5 fois plus efficace que des traitements à base d’artémisinine seule, pour aider à lutter contre le paludisme2,
  • Une autre plante de la même famille, Artemisia afra, aurait la même efficacité contre le paludisme… alors même qu’elle ne contient PAS le fameux principe actif l’artémisinine2,
  • L’huile essentielle d’Artemisia annua aurait des propriétés encore plus intéressantes que l’extrait de plante simple. Vous pouvez découvrir le pouvoir incroyable des huiles essentielles en cliquant ici

L’huile essentielle plus forte que ses dérivés chimiques

Plusieurs études ont déjà démontré les effets de l’huile essentielle d’Artemisia annua.
 
Une équipe de chercheurs français a notamment observé en 2002 qu’elle était capable d’inhiber le candida albicans
3.

Plus récemment, un article scientifique
4 passait en revue tous les bienfaits trouvés à cette huile essentielle depuis une dizaine d’années. Et ils sont nombreux.

Elle agirait contre :
  • la listeria,
  • la salmonelle,
  • la bactérie klebsiella,
  • le staphylocoque doré,
  • ou encore Aspergillus fumigatus, un champignon responsable de maladies nosocomiales mortelles chez les personnes immunodéprimées.
Il se pourrait même que cette huile essentielle ait des propriétés anticancer5… Mais sur ce sujet, les recherches manquent encore.
 
C’est grâce à Pascale Gélis-Imbert que j’ai découvert cette incroyable huile essentielle au profil prometteur.

Rappelons que le paludisme tue encore 500 000 personnes par an dans le monde
6. Et que bon nombre de nos lieux de destination de vacances nous exposent à ce risque…
 
Cette huile essentielle est pour moi un beau symbole du potentiel incroyable de l’aromathérapie.
 
 
Laurent des Éditions Nouvelle Page
 

Sources : 
1 https://www.who.int/malaria/areas/treatment/overview/fr/
2 J. Munyangi, L. Cornet-Vernet, M. Idumbo, C. Lu, P. Lutgen, "Artemisia annua and Artemisia afra tea infusions vs. artesunate-amodiaquine (ASAQ) in treating Plasmodium falciparum malaria in a large scale, double blind, randomized clinical trial" ; Phytomedicine : international journal of phytotherapy and phytopharmacology, ISSN: 1618-095X, Vol: 57, Page: 49-56 ; avril 2019
3 F. Juteau, V. Masotti, J.M. Bessière, M. Dherbomez, and J. Viano, "Antibacterial and antioxidant activities of Artemisia annua essential oil", Fitoterapia, vo. 73, no. 6, pp. 532-535, 2002
4 Bilia, Anna & Santomauro, Francesca & Sacco, Cristiana & Bergonzi, Maria & Donato, Rosa. (2014). "Essential Oil of Artemisia annua L.: An Extraordinary Component with Numerous Antimicrobial Properties". Evidence-based complementary and alternative medicine : eCAM. 2014. 159819. 10.1155/2014/159819.
5 T. Efferth, "From ancient herb to modern drug : Artemisia annua and artemisinin for cancer therapy", Seminars in cancer biology, Elsevier, October 2017
6 Inserm « Grandes tueuses : la paludisme »



dimanche 13 novembre 2022

TECHNIQUES ANTI CANCER

 TECHNIQUES CONTRE LE CANCER 

(Autres que SPOOKY 2)


Techniques anticancéreux


On utilise les huiles essentielles en cancérologie

Quelques hôpitaux d’avant-garde à Rennes, à La Rochelle⁷ intègrent désormais les huiles essentielles dans leur suivi des patients atteints du cancer.

Aux Hôpitaux Civils de Colmar⁸, le service d’oncologie utilise l’aromathérapie pour soulager les nausées, les troubles du sommeil et l’anxiété des malades.

Le personnel de ce service explique que les patients concernés ont vu une réelle amélioration de leur état : soulagement des douleurs, mieux-être, endormissement…
 
 Au CHU de Poitiers, la médecin-chef du service hématologie a été littéralement estomaquée : chez un de ses patients, elle aurait vu un énorme hématome se résorber de manière spectaculaire après l’application d’huile essentielle d’hélichryse italienne.

En cancérologie, les huiles essentielles contribuent chaque jour à des petits miracles de bien-être :

  • En cas de radiothérapie, l’huile essentielle de niaouli aide à protéger la peau de graves brûlures.
  • Pour aider à calmer nausées et vomissements causés par la chimiothérapie, on fait appel à l’huile essentielle de citron ;
  • Après l’intervention chirurgicale, l’huile essentielle de lavande officinale contribue à accélérer le processus de cicatrisation ;
  • Pour lutter contre la fatigue physique, les patients peuvent inhaler de l’huile essentielle de romarin officinal à alterner avec l’huile essentielle de pin sylvestre en cas de fatigue psychique.

Certains pensent que les huiles essentielles sont un effet de mode. Que ça va passer. Qu’on va finir par s’en lasser.

Je suis convaincu du contraire. 

Elles sont d’ailleurs très prometteuses contre un autre problème de santé encore plus répandu que le cancer : l’arthrose.

Au CHU de Poitiers, la médecin-chef du service hématologie a été littéralement estomaquée : chez un de ses patients, elle aurait vu un énorme hématome se résorber de manière spectaculaire après l’application d’huile essentielle d’hélichryse italienne.

En cancérologie, les huiles essentielles contribuent chaque jour à des petits miracles de bien-être :

  • En cas de radiothérapie, l’huile essentielle de niaouli aide à protéger la peau de graves brûlures.
  • Pour aider à calmer nausées et vomissements causés par la chimiothérapie, on fait appel à l’huile essentielle de citron ;
  • Après l’intervention chirurgicale, l’huile essentielle de lavande officinale contribue à accélérer le processus de cicatrisation ;
  • Pour lutter contre la fatigue physique, les patients peuvent inhaler de l’huile essentielle de romarin officinal à alterner avec l’huile essentielle de pin sylvestre en cas de fatigue psychique.
Vidéo : Emission Envoyé Spécial France 2 « Les HE au CHU de POITIERS, pôle cancérologie » – alexia-blondel.fr 

Thérapie par vitamine C à haute dose en intra veineuse 


La vitamine C est un micronutriment indispensable pour mener une bonne santé. La vitamine C appartient à la classe des vitamines hydrosolubles. Elle ne peut, ni être produite par le corps lui-même, ni y être administrée. Elle se métabolise rapidement et tout excès est excrété.

Presque tous les patients atteints d’un cancer souffrent – généralement sans le savoir – d’une carence vitaminique extrême, surtout après une radiothérapie ou une chimiothérapie. Dans ce cas, le besoin en vitamine C ne peut pas être satisfait par une alimentation saine, la quantité requise va bien au-delà de ce que l’organisme peut absorber par le tube gastro-intestinal, et, dans de nombreux cas, les muqueuses de l’estomac sont également gravement endommagées.

Non seulement les perfusions de vitamine C à fortes doses peuvent combattre et prévenir les symptômes de carence, mais des études ont également montré que des doses élevées de vitamine C prolongent le temps de survie des patients cancéreux et qu’elle peut rendre les cellules cancéreuses inoffensives. La condition préalable est que le traitement avec la vitamine C à forte dose soit injecté ou administré par perfusion intraveineuse.

Au Centre d’hyperthermie de Hanovre, nous utilisons avec succès des perfusions de vitamine C pour améliorer le bien-être général, pour prévenir les tumeurs, pour soigner les patients affaiblis et en cas de présence de métastases. Nous utilisons également ce procédé en combinaison avec d’autres thérapies biologiques, par exemple :

  • l’hyperthermie générale
  • l’hyperthermie locale
  • les chimiothérapies à faible dose ou les chimiothérapies naturelles Vitamine B17
  • les thérapies par biorésonance
  • les thérapies de détoxification
  • la thérapie de Gerson

La cure de perfusions de vitamine C fortement dosées se déroule sur une période de huit à dix semaines et le thérapeute adapte le programme de traitement exact à chaque patient.


Immunothérapie anti-CD47 efficace et sure en préclinique

PAR DR VÉRONIQUE NGUYEN - PUBLIÉ LE 16/03/2017


« L’aspect le plus excitant de nos résultats est que ce traitement se montre actif quel que soit le type de tumeur cérébrale évalué dans les modèles animaux », souligne le Pr Samuel Cheshier de l’Université de Stanford (Californie).

Chez les souris greffées à la fois avec des neurones humains normaux et des cellules de tumeurs cérébrales de patients, « on constate une destruction tumorale importante in vivo sans aucune toxicité vis-à-vis des cellules humaines saines », ajoute ce neurochirurgien qui a codirigé avec le Dr Irving Weissman l’étude publiée dans la revue « Science Translational Medicine ». Étant donné ces résultats encourageants et l’étude des anticorps anti-CD47 chez l’adulte, un essai clinique de ces anticorps chez les enfants atteints de tumeurs cérébrales pourrait débuter d’ici un à deux ans.

Des cancers agressifs

Les tumeurs cérébrales sont la première cause de mortalité par cancer chez l’enfant. Elles sont souvent inopérables, certaines sont réfractaires aux chimiothérapies, et la toxicité de la radiothérapie ou chimiothérapie sur le jeune cerveau en développement peut laisser de graves séquelles. Contre ces cancers agressifs de l’enfant, les anticorps anti-CD47, développés à l’université médicale de Stanford (Californie), pourraient offrir une immunothérapie adjuvante bénéfique.

Ces anticorps anti-CD47 sont administrés afin d’aider l’immunité innée à détecter une différence importante entre les cellules cancéreuses et les cellules saines : les cellules cancéreuses présentent à leur surface des signaux pro-phagocytaires (CRT), signalant aux macrophages de les phagocyter (« mangez-moi »), tandis que les cellules saines en sont dépourvues. Toutefois de nombreux cancers (hématologiques et solides) échappent à cette surveillance immunitaire en surexprimant la protéine CD47, un signal anti-phagocytaire qui est exprimé sur les cellules saines et sur les cellules cancéreuses. Le traitement par anticorps contre la protéine CD47, en bloquant son signal anti-phagocytaire, permet aux macrophages de détruire les cellules cancéreuses tout en épargnant les cellules saines dépourvues des signaux pro-phagocytaires (« mangez-moi »).

Pro- et anti-phagocytaires

Gholamin et coll. ont évalué un anticorps anti-CD47 humanisé (Hu5F9-G4) contre 5 types de tumeurs cérébrales agressives de l’enfant (glioblastome, gliome infiltrant du tronc cérébral, médulloblastome primitif et métastasé, tumeur tératoïde rhabdoïde atypique, et tumeur neuroectodermique primitive) dans une étude in vitro et chez la souris greffée avec des cellules de tumeurs cérébrales de patients. Ils ont confirmé que tous ces cancers expriment les 2 signaux pro- et anti-phagocytaires et montrent l’efficacité thérapeutique des anticorps anti-CD47, et leur activité minimale sur les cellules saines, tant in vitro que dans les modèles murins. Chez la souris, l’anticorps injecté par voie intrapéritonéale est capable de traverser la barrière hémato-méningée. L’administration intraventriculaire (dans le LCR) majore l’efficacité de l’immunothérapie contre le médulloblastome métastasé. Enfin, chez la souris greffée avec des cellules de gliome agressif, l’immunothérapie prolonge significativement la survie.
Puisque les anticorps anti-CD47 n’éliminent pas complètement les tumeurs, les chercheurs estiment qu’il faudra combiner cette immunothérapie à d’autres approches thérapeutiques, majorant ainsi l’efficacité tout en réduisant la toxicité.

« Notre prochain objectif préclinique sera d’élargir l’étude à toutes les tumeurs cérébrales de l’enfant comme l’épendymome et l’oligodendrogliome, confie au « Quotidien » le Dr Mitra Siddharta. De plus, nous chercherons à mieux comprendre et à majorer l’activité de l’immunothérapie anti-CD47. »

Science Translational Medicine, 15 mars 2017, Gholamin et coll.

Dr Veronique Nguyen

CD47 ANTICORPS

Programme sur le logiciel SPOOKY PRESET


Le CDS ou DIOXYDE DE CHLORE NACLO2

 Soignée par du DIOXYDE DE CHLORE NACLO2 en stade terminal d'un CANCER généralisé aux poumons et sur les autres organes. Témoignage poignant et incroyable!

Elle a utilisé 10ml de CDS dans 800ml d'eau après le repas.

https://t.me/Diffusionlibre/1325

A voir sur TELEGRAM.

 

Fabrication du CDS 

Un flacon hermétique avec un couvercle en verre type pot à confiture ou pâté.

Un petit verre qui puisse entrer dans le flacon et assez haut.

CHLORURE DE SODIUM NACLO2

Acide chlorhydrique 4% ou acide citrique à 50%

Chlorite de Sodium 25% (pas absolument nécessaire).

. Mettre le petit flacon à l'intérieur du verre hermétique puis mettre de l'eau autour Sans que cela déborde dans le petit flacon.

Prendre une seringue, avec 5cm3 ou 5ml de NACLO2 chlorite de Sodium.

Mettre la solution dans le petit verre.

L'activateur, l'acide chlorhydrique à 4% dans la seringue 5ml, on verse dans le petit verre.

On ferme le bocal. On laisse prendre la solution pendant 12h à 24h dans un placard.

On sort le verre et on ferme le bocal.

Le contenu du petit verre est versée dans une bouteille qui servira de produit ménager...

Il est important de ne pas respirer le gaz et de le faire dans une pièce ventilée.

Après 12h, la concentration de la solution est de 1500ppm, ou bien 0,5%.

On fait le même processus une seconde fois.

Le faire le plus rapidement possible.

Ensuite nous obtenons une concentration jaune de 3000ppm.

Source : www.andrraskalcher.com

Docteur Andreas Ludwig Kalcker

Et Docteur Guillemot.

 

Dioxyde de chlore

CDS DIOXYDE DE CHLORE

Je trouve le programme concernant ce traitement sur la base de données de SPOOKY 2. 

Cette thérapie rejoint celle de SCHWARTZ, ci dessous:

 

Guérir du cancer par le professeur Laurent Schwartz avec le bleu de Méthylène

Cela fait quelques années que l’approche du cancer comme un « simple » trouble du métabolisme cellulaire et plus particulièrement du fonctionnement mitochondrial avance à grands pas avec de nombreuses publications scientifiques sur l’animal et de cas patients bien documentés (à la suite des travaux du prix Nobel de médecine Otto Warburg).

C’est la base du protocole métabolique du Dr Laurent Schwartz qui utilise deux principes actifs, l’hydroxycitrate de calcium et l’acide alpha-lipoïque, très communs comme compléments alimentaires, associés à un régime cétogène et éventuellement à d’autres molécules elles aussi très communes (dioxyde de chlore NACLO2 ou bleu de méthylène C16H18ClN3S). Ce protocole s’utilise en complément d’une prise en charge médicale classique.

Pour ceux que le sujet intéresse, je vous conseille vivement la conférence du Dr Laurent Schwartz du 8 Décembre 2018 lors du 4ème Congrès de l’IPSN. Mais également les travaux scientifiques et les publications sur son site Guérir du Cancer.

 En résumé, il s’agit de priver les cellules cancéreuses, et uniquement celles-là, des éléments nécessaires à leur croissance et leur multiplication. C’est une approche différente des chimiothérapies et radiothérapies dont l’objectif est de tuer ces cellules, avec d’inévitables effets sur les cellules normales. Comme ces anomalies métaboliques sont le fait des seules cellules cancéreuses, le traitement métabolique n’a que peu d’effets secondaires.

Les quatre clés du traitement métabolique du cancer du D' Laurent Schwartz

<< Les données animales montrent que ce traitement sensibilise la tumeur à la chimiothérapie. [...] Ce traitement s'inscrit sur la durée, comme celui de l'hypertension artérielle ou du diabète.
1. Une activité sportive si cela est possible;
2. Une alimentation hypocalorique et hypoglucidique;
3. Un traitement renforçant l'activité mitochondriale tel que l'acide lipoïque à raison de 800 mg matin et soir, associé à l'hydroxycitrate à raison de 500 mg matin, midi et soir.
Dr Laurent SCHWARTZ
Les clés du CANCER
Une nouvelle comandheraton de la m Law principun di modement metabisie
4. Du bleu de méthylène à raison de 75 mg matin et soir, combiné éventuellement à du dioxyde de chlore. >>
 Source : https://guerir-du-cancer.fr

Méthode avec l' Atemis

 un protocole qui me semble cohérent avec 3 cycles d'environ 23 jours commençant par une courte prise d'extrait d'artemisia annua titré en artémisinine et 21 jours d'hydroxycitrate + R sodium lipoate, des conseils alimentaires qui n'empêchent pas de recourir à des soins classiques comme par exemple la radiothérapie

https://www.youtube.com/live/Ra050tLl2Kc?si=dfDU8t3TR1ov1qun

 

PERCÉE RÉCENTE DANS LA RECHERCHE SUR LE CANCER DU PANCRÉAS selon la méthode du Professeur BELJANSKI

La recherche préclinique démontre que les extraits de plantes Pao pereira et Rauwolfia vomitoria de Beljanski tuent sélectivement les cellules cancéreuses, y compris pour les cancers du pancréas, sans toxicité, et agissent en synergie avec la chimiothérapie. Ils détruisent même les cellules souches cancéreuses. D’autres extraits peuvent aider à atténuer les effets secondaires de la chimiothérapie et de la radiothérapie.

 

BELJANSKI MÉTHODE

ÉVITER LA RÉAPPARITION DU CANCER

Les cellules souches cancéreuses ont la capacité d'auto-renouvellement, de métastases et d'initiation de la repousse tumorale. Les extraits de Pao pereira et de Rauwolfia vomitoria peuvent réduire le nombre et inhiber l'activité des cellules souches du cancer du pancréas indiquant que les deux extraits de plantes peuvent jouer un rôle clé dans la prévention de l'aspect le plus frustrant du cancer du pancréas : la récidive. En savoir plus ici et ici.

Soutien naturel pour le cancer du pancréas

Les extraits du Dr Mirko Beljanski ne sont pas spécifiques au genre ni à l’organe. Après avoir étudié leurs effets sur le cancer de la prostate et de l’ovaire, des études ont été menées au Kansas University Medical Center où, les extraits de plantes Pao pereira et Rauwolfia vomitoria de Beljanski, ont été testés en association avec la gemcitabine, un médicament couramment utilisé pour traiter le cancer du pancréas. Les deux extraits et les combinaisons de traitements du cancer du pancréas s’avèrent  synergiques dans l’inhibition de la croissance des cellules cancéreuses du pancréas. La synergie est rendue possible par le mécanisme d’action unique des extraits et par l’inversion efficace de la résistance aux traitements des cellules cancéreuses. Les chercheurs ont ensuite démontré que les deux extraits peuvent réduire le nombre et inhiber l’activité des cellules souches du cancer du pancréas. Les cellules souches cancéreuses sont un sous-ensemble de cellules d’une tumeur qui ont acquis la capacité d’auto-renouvellement, de métastase et d’initiation de la repousse tumorale.

Le Dr Beljanski a également développé deux extraits supplémentaires – un extrait de feuille dorée de Ginkgo et la préparation de petits fragments d’ARN qui fournissent un soutien essentiel aux patients.

Source https://www.beljanski.info/cancer-du-pancreas/

Le Graviola

panacée amazonienne

Voici encore un remède naturel ayant entres autres multiples applications, le pouvoir de guérir le cancer, ce qui a été scientifiquement prouvé, mais caché. Pourquoi ? Parce qu’étant simplement une plante, elle ne peut être brevetée. Il s’agit du Graviola (nom latin : Annona Muricata) qui se nomme Guanabana au Brésil et Corossol aux États-Unis.

C’est un arbre toujours vert de 6 à 15 mètre de hauteur qui pousse dans les forêts tropicales. Son fruit de 20 à 40 cm de diamètre a la forme d'un cœur avec une sorte de peau ressemblant à un grand cactus. Sa chair blanche est succulente et les gens peuvent l'acheter sur les marchés locaux.

Les tribus indiennes utilisent le Graviola depuis des siècles

Toutes les parties de l’arbre (feuilles, racines, tronc, écorce, graines) contiennent chacune des principes de guérison spécifiques concernant différentes maladies et déséquilibres de santé.

Selon les traditions du Brésil, les racines, le tronc et les feuilles sont utilisés comme sédatif - la nervosité, les catarrhes, les parasites - et comme galactogène des nouvelles accouchées. Dans d'autres pays d'Amérique Latine, ils sont aussi utilisés comme tonicardiaque moyen, et contre le diabète. Au Brésil, on prépare un mélange à partir d'un fruit immature mélangé avec de l'huile d'olive en tant que traitement externe pour l’arthrite et les rhumatismes.

Après avoir étudié la médecine ethnologique des indigènes de l’Amazonie et leur connaissance de la nature, nous devons nous demander concernant la vie et la santé, qui est le plus avancé ?

Ils n'ont pas d'hôpitaux, mais ils n'ont pas de cancers. Ils n'ont pas non plus de laboratoires pour transformer une plante en pilules, mais ils savent guérir sans ces artifices. Ces indigènes nous montrent comment vivre avec la nature et comment la nature offre tout ce dont nous avons besoin pour une vie saine.

Le point des recherches en cancérologie

En 1976, des recherches approfondies de "l'Institut national du cancer" des États-Unis sur le corossol ont abouti à la guérison rapide d'un "adénocarcinome" du gros intestin. Les composants actifs qui ont permis cela ont été isolés par le chercheur allemand et oncologue Helmut Keller et trois scientifiques associés; il s’agit des acétogéninesqui ont été confirmées très efficace pour tuer de nombreux types des cellules tumorales sans pour autant toucher aux cellules saines.

Plusieurs résultats de l'étude ont été publiés, mais ont été suivies d’un silence fracassant… De guerre lasse, les chercheurs ont abandonné et laissé les résultats miraculeux dans les tiroirs de leur institut.

La même année, un médecin de l’Université de Pardue en Californie, le Dr Jerry McLaughlin, a découvert les acétogénines du Graviola Corossol, (il y en a 82) qui sont considérés comme des substances anti-cancers naturelles des plus puissances.

A la fin des années 90, l'un des scientifiques qui faisait partie de l'une des équipes de recherche a rompu le silence pour des raisons de conscience et quelques-uns des rapports sont devenus accessibles pour le monde de la médecine. Simultanément, des chercheurs Brésiliens sont allés en Amazonie pour étudier les plantes de la forêt tropicale. Ils se sont intégrés au sein des populations autochtones afin d’apprendre leurs connaissances ancestrales sur la guérison par les plantes locales.

Dès 1996, toutes les études des différents laboratoires ont conduit à la même conclusion, que les Acétogénines du Graviola ont une composante leur permettant de reconnaître les cellules malades, et de les isoler afin de les priver des nutriments manquants, ceci entraînant ainsi leur mort. Leurs résultats ont été publiés dans 8 études cliniques.

En 1997, un petit groupe de scientifiques a découvert que le Graviola contient également des alcaloïdes qui ont un effet antidépressif.
Dans la même année, l'UNIVERSITÉ a publié une nouvelle information exceptionnelle démontrant encore plus de pouvoirs au sujet du Graviola. En effet, les études cliniques ont confirmé que les "acétonines Annonacae" du Graviola ne tuent pas seulement les cellules cancéreuses courantes, mais qu'ils sont également très efficace pour tuer les cellules cancéreuses résistantes sur la chimiothérapie. Cette enquête explique comment cela est possible : les cellules cancéreuses qui survivent à la chimiothérapie ont développé une résistance contre de nombreux autres types de médicaments, appelé Multi-Drug-Resistant ce qui les immunises contre tout traitement ; et ceci conduit 100% les patients "chimiqués" à la mort !

Selon Jerry McLaughlin, scientifique à Purdue, le Graviola semble stopper l’approvisionnement en énergie des cellules cancéreuses.

  • Nota : Depuis 20 ans l'industrie Big Pharma essaie de transformer les principes actifs de la plante en un remède (brevetable !) qui marche contre le cancer. Mais le Graviola ne permet pas les dérivés chimiques. Jusqu’ici il est confirmé que le Graviola ne fonctionne que s’il est naturel. De nombreux groupes de scientifiques sont toujours en recherche pour créer un produit similaire à l’Annonacins qui fonctionne si bien – mais il est très difficile de recopier intégralement les subtilités que la nature a élaborées en plusieurs millions d’années…

Actuellement, 11 types de cancer ont été validés : cancer du sein, cancer de l'abdomen, cancer de l'ovaire, cancer de l'utérus, cancer du poumon, cancer de la prostate, cancer du pancréas, cancer de la peau, cancer du sang (leucémie), cancer de la vessie, cancer du foie.

Un puissant nettoyeur organique

Le Graviola n'est pas seulement un miracle contre les cellules cancéreuses, mais il a également des composants (résultats de recherches) qui permettent d'éliminer toutes sortes de substances chimiques comme la cortisone, les médicaments toxiques et les poisons en tous genres de notre corps. Le Graviola est aussi d’une puissance incroyable pour régénérer les cellules. Cette plante est véritablement un don de la Terre Mère.

  • Les feuilles, bourgeons et fleurs sont pectoraux et fébrifuges.
  • La poudre de fruit vert est antidiarrhéïque.
  • La racine est parasiticide (vers intestinaux) et antispasmodique.
  • Posologie

    Toutes affections :
    Le dosage recommandé de la feuille de graviola est de 2 à 3 grammes, 3 à 4 fois par jour.

    Le thé de Graviola Corossol et cancers

    Pour une guérison efficace contre le cancer, le thé de Graviola Corossol fait à partir de feuilles de Graviola Corossol peut être consommé quotidiennement. Ceci est un des avantages de la feuille de Graviola Corossol qui est un traitement d’une grande simplicité. Vous pouvez faire votre propre thé.

    Faire bouillir 1 litre d’eau, puis prendre 15 feuilles fraîches ou sèches de Graviola Corossol , ou de la poudre de Graviola Corossol que vous jetez dans l’eau bouillante. Ne fermez pas le récipient et continuez de faire bouillir l’eau sur le petit feu pendant 30 minutes, jusqu’à évaporation de l’eau à 500 ml.

    Le thé de Graviola Corossol est prêt à boire. Buvez une tasse (165ml) de thé filtré, 3 fois par jour, le matin, l’après-midi et le soir. Pour un meilleur goût, vous pouvez ajouter 1/2 cuillère à café de jus de citron, et ajouter un peu de miel (pas de sucre). Prenez le thé Corossol 30 minutes avant les repas pour plus d’efficacité.

    Après avoir bu, votre corps peut ressentir de la chaleur. En deux semaines, vous pourrez ressentir les bienfaits du Graviola Corossol et après quatre semaines - les améliorations peuvent être clairement ressenties.

  • Source : micheldogma.fr

L'Ivermectine 

Le prix Nobel de médecine a été décerné en 2015 pour l'invention de l'Ivermectine. Elle possède toute une gamme de mécanismes d’action antiparasitaires, antiviraux et anti-cancérigènes positifs. Néanmoins, elle a été et est combattue parce qu'elle est non seulement efficace mais aussi bon marché parce que les droits de brevet ont expiré.


Une nouvelle étude publiée explique les mécanismes anti-cancéreux de l'Ivermectine :

1. L'ivermectine empêche les cellules cancéreuses de croître et de se diviser,
2. L’ivermectine a provoqué la mort des cellules cancéreuses (« apoptose »), et
3. L’ivermectine a amélioré le processus par lequel les cellules décomposent leurs propres parties endommagées ou indésirables (« autophagie »).

L'étude : https://link.springer.com/article/10.1007/s00280-023-04589-6

Le bicarbonate de soude

Une demi cuillère à café le matin et le soir pour désacidifier le corps.

L'huile de Nigelle

Puissant antibactérien et immunoprotecteur.